Lirac regorge de sites mystérieux et de nombreuses surprises. Au détour d'une balade vous découvrirez que beaucoup de lieux cachent une véritable histoire.
Le blason
Le blason de LIRAC est un Saint Pierre d'or, sur fond d'Azur, tenant dans sa main dextre deux clefs les mesmes.
La crypte
Ce lieu du village et surement le plus mystérieux. Datant, à première vue, du XIIe siècle, elle est ornée de fresques représentant des saints. En 2021, grâce au concours de la Fondation du Patrimoine, une restauration et des fouilles débuteront pour percer ses mystères.
La Sainte Baume
Ancienne caverne calcaire, elle fut sans doute un refuge pendant les guerres de religions. Au milieu du XVIIème siècle, la découverte par un berger d’une statuette de la Vierge fût considérée comme un "miracle" et la grotte devint un ermitage.
La Marianne de la Salle du Conseil
Ce buste de Marianne a été retrouvé en farfouillant dans le grenier de la Mairie.
Mr PECOUT a fait quelques recherches concernant ce buste. Voici le résultat de ses recherches.
"Ce buste en Hermès, visiblement jamais reconnu officiellement par le pouvoir en place, est une œuvre conçue par le sculpteur R. Agostini dès 1876.
La Marianne est coiffée d’une couronne tressée d’épis de blé parsemée de coroles de liseron, soulignée d’un bandeau portant la mention Concorde. Ce mot est présent sur les bustes de Marianne pour célébrer l’avènement de la IIIe République, après la répression de la Commune de Paris. Il annonce que la République se veut désormais conservatrice en paix et en harmonie avec toutes les composantes politiques et religieuses de l’époque. Le mot Concorde est donc incompatible avec toute représentation de bonnet phrygien.
Les initiales R.F. rappellent la République Française quand à la date 1889, elle célèbre le Centenaire de la Révolution française.
On trouve deux modèles identiques à la Marianne de Lirac, à Orsan, dans le Gard, sur la fontaine publique ainsi qu’à la mairie de Ganges dans l’Hérault."